Eglise Saint-Nicaise

Ancienne église

L’église St-Nicaise ne constituait  initialement qu’une chapelle située hors de l’enceinte de la ville et dont la fondation remonterait au milieu du VIIe siècle. Elle demeurait un lieu de culte où étaient vénérées les reliques de St-Nicaise, placées à cet endroit par saint Ouen, l’illustre archevêque de Rouen. Le quartier fut englobé dans l’enceinte urbaine en 1346 quand Philippe VI de Valois décida de construire de nouvelles murailles à l’est.
Bâtie dans la première moitié du XIVe siècle, devenue paroissiale en 1388, l’église St-Nicaise garda toujours le même vocable. Avant la constitution de la paroisse, le quartier faisait partie de la paroisse St-Godard.
Une certaine animosité resta entre les habitants et dégénéra quelquefois en batailles judiciaires, voire en batailles rangées.

L’affaire de la “boise de St-Nicaise” fit grand bruit au XVIIe siècle. Il y avait dans le cimetière de l’église une poutre (ou plutôt un banc) de bois dite “boise de St-Nicaise” . Elle servait de banc public pour se réunir. Elle fut volée et détruite le 18 janvier 1632 par les paroissiens de St-Godard. Cet incident amena dès lors d’incessants conflits entre les habitants des territoires des deux paroisses voisines.
Les bas-côtés furent réédifiés entre 1360 et 1414 pour le sud, à partir de cette date pour le nord. Les temps étaient pourtant difficiles du fait de la guerre. Le clocher central surmontait la croisée du transept. Il s’effondra en 1515.
Le chœur de la première église avait été entièrement refait au XVIe siècle. Le nouveau chœur a été considéré comme l’un des plus beaux monuments de la ville, même s’il pouvait être considéré comme inférieur aux chœurs de St-Maclou et de St-Vincent qui avaient des déambulatoires. Son élévation et sa clarté le placent toutefois dans la même veine, celle des derniers feux du gothique flamboyant.
L’église eut à souffrir d’un terrible ouragan, le 16 mars 1518. La tour du clocher central fut alors renversée et le transept très endommagé.
Le nouveau chœur flamboyant fut achevé en 1588 par le maître-maçon Jean Chaillou. Mais les travaux s’arrêtèrent là par manque d’argent. Les pierres d’attente au niveau du transept montrent à l’envie que la reconstruction du transept et de la nef projetée ne put se faire. Rien ne permit ensuite de continuer une œuvre trop audacieuse pour les moyens de la paroisse. C’est de là que vient un dicton populaire de Rouen s’adressant aux gens ayant plus de vanité que d’argent déclare : “Ils sont comme les paroissiens de St-Nicaise ; ils ont le cœur plus haut que la bourse“.
L’église avait été livrée, en 1562, au pillage des Huguenots.
La première église était très simple et moins étendue que l’église actuelle. Elle avait la forme d’une croix latine. La nef avait trois travées et était flanquée de bas-côtés étroits. La communication se faisait par de larges arcades brisées reposant sur des piliers ronds. La hauteur des bas-côtés étant pratiquement la même que celle de la nef, cette partie de l’édifice donnait l’idée d’une église-halle.
Le transept avait une largeur égale à celle de l’église actuelle. Le chœur d’origine n’a laissé aucune trace, mais on peut le penser terminé par une abside à trois pans. Il n’y avait de voûtes en pierre, ni sur la nef, ni sur les bas-côtés.

Le chœur présente trois travées et se termine par une abside à trois pans. Les voûtes sont à nervures prismatiques avec des clefs pendantes. Le décrochement entre le chœur et la nef était comblé par un mur pignon en attendant une éventuelle reprise des travaux.
Les chapelles latérales avaient sensiblement la même hauteur que les bas-côtés de la nef. Elles aussi avaient des voûtes en pierre.
La dernière travée au bas du collatéral nord portait une tour en charpente datant de 1603, recouverte d’ardoise et faisant office de clocher.
Le portail principal était des plus simples. Il était surmonté d’une grande baie rayonnante à un seul meneau.
La Révolution faillit entraîner la suppression de l’église mais, conservée en 1791, comme treize autres églises paroissiales rouennaises, le sanctuaire demeura fermé pendant quelques années. Non rendu au culte en 1802, il ne fut finalement retenu que comme simple succursale en 1806. L’église redevint paroissiale en 1829.
Un très violent incendie, d’origine accidentelle, ravagea la totalité de la nef de l’église, dans la nuit du 9 au 10 mars 1934. Il n’épargna que le chœur et anéantit les orgues, des vitraux et, en une nuit, la partie occidentale du monument.

Des pierres provenant de l'église incendiée ont servi a édifier, en 1936,  le calvaire de Rosay sur Lieure (Page perso de Serge Olivier) L'architecte était Daniel Yvelin.
 
Clergé
En 1770, le clergé se composait de 21 personnes :
13 prêtres
1 diacre
2 sous-diacres
6 acolytes
En 1834, le curé était M. Beaudouin, 12, rue Saint-Nicaise.
 
Mobilier
Chaire : offerte en 1636 par les religieux de Saint-Ouen. Elle était surmontée d'un dôme en forme de couronne ajouté plus tard. Elle a été réparée et pourvue d'un escalier neuf en 1735, par le menuisier Gabriel Rivière.
La cuve en bois était portée par trois consoles renversées. Sept panneaux de bois ornés de figurines représentant le Christ accompagné des apôtres Pierre et Paul et des quatre Evangélistes.
Stalles : Elles avaient été sculptées entre 1737 et 1739 par le menuisier Gabriel Rivière.
Une contretable avait été réalisé en 1583 par l'imagier Jean Séjourné. Une nouvelle contretable avait été commandée en 1653 à Etienne Mazeline pour un coût de 1.400 livres. Elle portait les statues de saint Nicaise et de saint Scuvicule.
 
Tableaux
L'église possédait plusieurs tableaux de l'école flamande remarqués lors de la visite pour le classement en 1908.
Adoration des Mages
. XVIIe siècle, attribué à Van Loon, d'après une gravure de Jan Harmensz Muller. Elle provient peut-être de Saint-Pierre L'Honoré (au Musée des Beaux-Arts depuis 1988).
Noces de Cana
. XVIIe siècle.
Présentation au Temple. XVIIe siècle.
La Pentecôte
(Armes du donateur : corporation de St-Luc) XVIIe s..
Jésus au milieu des Docteurs
Signé F. BAUDOUIN, 1644.
L'Ascension
de Pierre Letellier a longtemps été déposé dans la chapelle du Lycée Corneille
L'Ascension L'Adoration des Mages
 
Vitraux
La plupart des vitraux anciens de l'église ont été détruits lors de l'incendie de 1934. Seules deux fenêtres ont échappé au désastre, ainsi que des fragments divers.
Les vitraux antérieurs à l'incendie se divisaient en deux groupes : ceux du bas-côté nord de la nef dataient du second quart du XVe siècle, ceux du chœur avaient été réalisés entre 1555 et 1560.
En même temps que de très importantes restaurations des vitraux anciens, l'atelier Boulanger à fourni de nouvelles fenêtres à la fin du XIXe siècle. Ils sont signé de J. Boulanger et de son assistant E. Janiaud et datent de 1885 à 1897.

Vitraux anciens conservés

Les Vertus
Fen. 5, 1555
Les Vertus
Fen. 6, 1555
Anges
 
 

Vitraux anciens disparus

0 Caché par la contretable du chœur.
1 Ordination de Saint-Nicaise (moderne)
2 Décollation de Saint-Nicaise (moderne)
3 Ste-Anne, St-Joachim, Ste Vierge (moderne)
4 St-Jean, Ste Elisabeth, St-Joseph (moderne)
5 Vertus : Charité, Tempérance, Mortification (1555)
6 Vertus : Foi, Espérance, Charité (1555)
7 Annonciation (moderne)
8 La Nativité du Christ (moderne)
9 Présentation de la Vierge au Temple (moderne)
10 Le repas chez Simon (moderne)
11 Jésus au milieu des Docteurs. Jésus avec les enfants (moderne)
12 Christ et St-Jean, Crucifixion, Apparition à Ste-Marguerite. (moderne)
13 Vie de la Vierge et du Christ du Christ (XVe s. rest. XIXe s.)
14 Sacre de Charles VII (moderne)
15 Vie du Christ, Passion (XVe s. rest. XIXe s.)
16 Le Baptême de Clovis (moderne)
17 Enfance et vie publique du Christ (XVe s. rest. XIXe s.)
18 Sainte Geneviève (moderne)
19 Saint-Antoine de Padoue (moderne)
20 Tradition des clefs de St-Pierre (moderne)
21 Verrière cachée par le buffet d'orgue
   
100 Crucifixion (milieu XVIe s., très restauré)
101 Les pèlerins d'Emmaüs (milieu XVIe s, très restauré)
102 Noli me Tangere (milieu XVIe s, très restauré)
103 Ste-Anne enseignant à lire à la Vierge (XVIe-XVIIe s.)
104 Résurrection et fragments
105 Le roi David
106 St-Christophe portant un enfant (début XVIe siècle ?)
107 Un Roi de l'Ancien Testament
108 Fragments de figures

Vitraux XVe siècle disparus

   
  Crucifixion
Fen 100 - milieu XVIe siècle
 
Vie de la Vierge
Fen 13 - XVe siècle
Vie du Christ, Passion
Fen 15 - XVe siècle
Enfance et vie publique du Christ
Fen 17 - XVe siècle

Vitraux XIXe siècle conservés

Vie de saint Nicaise
fen 1 -  Boulanger (1895-97)
Vie de saint Nicaise
Fen 2 - Boulanger (1895-97)

Vitraux XIXe siècle disparus

Rond point du Choeur

Pèlerins d'Emmaüs
Fen 101
Noli me tanghere
Fen 102

Côté nord

Présentation de la Vierge au Temple
Fen 9
Jésus et les Docteur et les Enfants
Fen 11
Saint Antoine de Padoue
Fen 19

Côté sud

La Nativité du Christ
Fen 8
Le repas chez Simon
Fen 10
Christ St-Jean, Crucifixion, Ste-Marguer.
Fen 12
Sacre de Charles VII
Fen 14
Le Baptême de Clovis
Fen 16
Sainte Geneviève
Fen 18
   
  Tradition des clefs de St-Pierre
Fen 20
 
 
Orgues

Le plus ancien document parlant d'un orgue à Saint-Nicaise date de 1542.
L'ancien orgue de tribune avait été construit en 1631 par Crespin Carlier.
Le buffet avait été peint et doré par Jean Le Pilleur.
En 1638, on ajouté un positif réalisé par Robert Gouët. L'instrument a été restauré entre 1751 et 1780 par les frères Lefebvre. Une nouvelle réparation fut nécessaire en 1811-1812.
Il venait d'être complètement restauré en 1928 par Louis-Eugène Rochesson, quand il a été détruit été détruit par l'incendie de l'église en 1934.

L'orgue de chœur : Il comportait 12 jeux dans un buffet de chêne sculpté.

 
Cloches

En 1792, il y avait cinq cloches. Deux d'entre-elles furent descendues sur ordre de la Municipalité. Elles pesaient 400 et 315 livres.

Etiennette avait été bénie en 1812. Elle avait été fondue par Caplain père et fils, de Rouen, et était accompagnée de deux autres cloches, Marie Joseph et Marie-Louise.
Il n'en restait plus que deux à la fin du XIXe siècle. Elles avaient alors été remplacées par de nouvelles cloches . Marie-Elisabeth-Virgine datait de 1880. Marie-Louise était datée également de 1880. Il y avait que trois cloches en 1934.

 
Confréries
Confrérie à Sainte-Catherine instituée le 2 mars 1395. Elle fut ensuite étendue à Saint-Michel et Sainte-Marguerite. Elle prit le titre de Confrérie Dieu, M. Saint-Michel l'Archange, Mmes Sainte-Katerine, Marguerite et Quétérie Vierge, obtint ses statuts en mai 1489.
Confrérie de saint Nicaise connue depuis janvier 1478.
Confrérie de saint Bon approuvée en 1608.
Confrérie du Très-Saint-Sacrement de l'autel approuvée en 1635.
 

Eglise actuelle

Un concours avait été lancé par la ville de Rouen. 11 projets furent présentés. Les lauréat furent les architectes Pierre Chirol et Emile Gaillard.
Les travaux ont été réalisés à partir de 1935 par l'entreprise Lanfry. Elle a été terminée juste avant la Seconde Guerre mondiale. La nef aux lignes résolument style est surmontée d'une coupole supportée par quatre arcs de béton. Cette coupole a une hauteur de 35 mètres.
Un grand clocher insolite et élancé, d’une hauteur de 57 mètres, qui contient un carillon Westminster, s'élève au nord de la façade. il est décoré de huit statues d'anges portant des blasons.
L’église n’a été bénie que le 13 octobre 1940 par Monseigneur Petit de Julleville, au début de l’occupation allemande.
La qualité du béton armé bouchardé qui avait été employé pour la construction n’était pas optimale. La médiocrité de ce matériau fait que le monument souffre inexorablement de dégradations. Il a été fermé en 2002 pour raisons de sécurité.

 
Mobilier
Le retable a pu être sauvé.
Un autel en pierre, dessiné par Emile Gaillard, avait été offert en 1942 par les paroissiens. Il avait la particularité d'être situé à l'entrée du chœur. Ainsi, avant Vatican II, et avec la permission de l'archevêque, la messe était dite face aux fidèles. Il a été supprimé en 1947. Il avait été mis dans la crypte de l'église Saint-Jean-Eudes. 
Des statues de Birkel sont appuyés au revers des pignons nord et sud. Elles représentant le Sacré-Cœur et Saint-Antoine de Padoue, dont la dévotion était très forte dans la paroisse.
Il a été dessiné par l'architecte Emile Gaillard et exécuté par les établissements Pecqueur.
dans le baptistère (sous le clocher) les fonds baptismaux proviennent de l'église de Pommereval. Elle a été mise en dépôt par le Musée des Antiquités.

 
Tableaux
Le retable de l'autel principal contient un tableau mis en dépôt par le Musée des beaux-arts. Il s'agit d'une Vierge entre les Anges, dite de Saint-Sixte, anonyme de l'Ecole française du XVIIe siècle (peint entre 1651 et 1672), d'après Raphaël. C'est une copie de l'original qui se trouve au musée de Dresde. Il proviendrait de l'ancienne abbaye de Saint-Amand de Rouen.

 
Vitraux
La plupart des vitraux ont été détruits dans l'incendie de 1934.
Seules deux verrières figurant les Vertus, de 1555, demeurent intactes. Il faut déplorer la disparition de vitraux du second quart du XVe siècle, d’autres vitrages remontant à 1559, de restes de grisailles, de trois autres vitraux de couleur de la même époque et surtout d’un saint Christophe portant l’Enfant d’un demi-siècle plus ancien.
Pour remplacer le vitrail de La Crucifixion détruit, on  a installé dans la haute fenêtre centrale du chœur une Crucifixion provenant de l’église St-Eloi.
Le curé de l'époque fit appel à Max Ingrand pour concevoir une vitrerie moderne.
100 Crucifixion (vers 1540)
   
11 Adoration des Mages
12 Multiplication des pains
13 Saint-Antoine de Padoue
14 Christ en majesté
15 Pêche miraculeuse
16 La tempête apaisée
17 Paraboles : Bon Pasteur, Bon Samaritain (?), Mauvais riche (?)
18 Paraboles : Bons Samaritain, Noces de Cana, Mauvais riche
103 Jugement dernier

Vitrail transféré

Crucifixion
Fen 100 - vers 1540

Vitraux nouveaux

Adoration des Mages
Fen 11
Saint-Antoine de Padoue
Fen 13
Pêche miraculeuse
Fen 15
Multiplication des pains
Fen 12
Christ en majesté
Fen 14
La tempête apaisée
Fen 16
Paraboles
Fen 17
Jugement dernier
Fen 103
Paraboles
Fen 18
 
Orgues
 
L'orgue de chœur actuel a été construit par Rochesson en 1940. Il a été terminé en 1957 par Beuchet-Debierre.
Il comporte 45 jeux et trois claviers.
Il a été restauré en 1989 par Philippe Hartmann.

L'orgue de chœur a été construit en 1934 par Rochesson, en remplacement d'un instrument plus ancien détruit en 1934. Lui aussi a été restauré en 1989.

 
Cloches
Les cloches actuelles ont été fondues par la maison Causard de Colmar. Elles ne portent pas d'inscriptions pour ne pas altérer les sons. Elles ont été bénies dès 1938, dans la chapelle des Bénédictines du Saint-Sacrement, et placées dans le clocher dès la fin des travaux.
Le bourdon Léon, Marie, Michel. Il pèse huit tonnes avec son battant. Il donne un sol grave.
Il est accompagné de trois cloches :
André, Marguerite (3 037 kg) qui donne le do.
Aimé, Augusta (2 937 kg) qui donne le ré.
Cécile, René, Madeleine (2190 kg) qui donne le mi.
le carillon comporte quatre cloches :
167 kg donnant le sol.
89 kg donnant le do.
63 kg donnant le ré.
52 kg donnant le mi.
L'horloge Westminster sonnait les heures. Elle comporte trois cadrans de près de deux mètres de diamètre.
L'ensemble est muet depuis des années, en attente de restauration.
 
Confréries
 
Localisation


Cliquez sur l'image

 
Histoire de la ville de Rouen, F. Farin, 3e ed., 1738, t. IV, p. 492-501.
Abrégé de l'histoire ... de la ville de Rouen, Lecoq de Villeray, 1759, p. 338-339.
Dictionnaire géographique, historique et politique des Gaules et de la France, J. J. Expilly, Tome VI, 1770, p. 428.
Tableau de Rouen,
Machuel, 1777, p. 125-127.
Dictionnaire indicateur des rues et places de Rouen, P. Périaux, 1819, p.171.
Lettres sur la ville de Rouen
, Alexandre Lesguilliez, 1826, p. 357-358.

Exploration de la Normandie - Rouen, Walsh, 1835, p. 157-166.
Album Rouennais, E. Dumée, Ch. Richard, 1847.
Dictionnaire indicateur des rues et places de Rouen,
N. Périaux, 1870-71, p. 579.
Travaux de restauration de l'église Saint-Nicaise, d'Estaintot, Bull. CDA, 1873-75, p.451-454.
Notice sur l'église Saint-Nicaise,
Ch. de Beaurepaire, Bull. CDA, 1876-1878, p. 25-23.

Restauration des vitraux de l'église Saint-Nicaise de Rouen,
Ch. de Beaurepaire, Bull. CDA, 1885-1887, p.170-173.
Notice sur la contretable de l'église Saint-Nicaise de Rouen,
Ch. de Beaurepaire, Bull. CDA, 1891-93, p. 105-111.
Les cloches des églises de Rouen,
Abbé Julien Loth, Rouen, 1903, p. 58-59.
Inventaire du mobilier d'art des édifices religieux de Rouen,
L. de Vesly, Bull. AMR, 1912, p.34-54.
L'église Saint-Nicaise de Rouen d'après les archives et les documents anciens,
Charles de Bussy, Rouen, 1914.
L'église Saint-Nicaise de Rouen,
Ch. de Bussy, 1914.

Notes sur les travaux exécutés à St-Nicaise aux XIVe et XVe siècles,
G.-A. Prevost, Bull. CDA, 1915-19, p.126-142.
Nos anciennes églises de Rouen, E. Faroult, l'Archi. et la Cons. dans l'Ouest, 1924-6, p .36-39.
Restauration de l'orgue de Saint-Nicaise,
A. Remond, Bull. AMR, 1926-1927, p. 27, 28.
Le grand orgue du XVIIe siècle de Saint-Nicaise de Rouen,
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Les vitraux de Saint-Nicaise de Rouen,
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L'incendie de l'église Saint-Nicaise,
Dr. Coutan, Bull. AMR, 1932-1934, p. 113-114.
La nef de l'église Saint-Nicaise,
F.-M. Coutan, Bull. CDA, 1932-37, p.101-102.
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L'architecture du 20e siècle dans l'agglomération rouennaise, Agglo de Rouen, 2002, p.184.
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Les vitraux des églises de Rouen, J. Tanguy, CDRom, 2006.
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Eglises et chapelles de Rouen, un patrimoine à (re)découvrir, H. Decaëns, AMR, 2017, p.148-154.

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