Conseils Municipaux depuis 1995

Fiche Conseil
 
Séance : 06/02/2017
Libelle : Dénomination de voies et espaces publics — Ecoquartier Flaubert — Approbation
Document : Les études d'aménagement de l'Ecoquartier Flaubert sont engagées depuis plusieurs années sur les territoires des communes du PETIT-QUEVILLY et ROUEN, et le projet s'apprête aujourd'hui à entrer en phase opérationnelle. Pour des facilités de repérage et permettre l'adressage des constructions du futur quartier, la Métropole ROUEN Normandie a sollicité les communes afin qu'elles procèdent à la dénomination de douze espaces publics : neuf voies et trois places.
Afin d'arrêter le nom de ces espaces publics, les Villes de ROUEN et du PETIT-QUEVILLY ont choisi d'ouvrir la consultation au grand public. Une liste d'une vingtaine de noms de personnalités illustres a été mise en ligne à compter du 23 novembre 2016, avec la possibilité pour le public de voter et de proposer d'autres noms. L'ensemble des noms soumis au vote présentait le critère commun d'honorer des artistes plasticiens ou des personnes ayant oeuvré pour la défense des préoccupations environnementales.
En une semaine, une cinquantaine de noms est ressortie de la consultation publique et c'est sur la base de cette liste complétée que les Rouennais et Quevillais ont pu voter jusqu'au 13 décembre 2016 minuit.
Les communes ayant identifié 12 espaces publics nécessitant une dénomination, il est proposé de retenir les douze noms les plus plébiscités suivants :
Camille Claudel (Sculptrice et peintre française) :
Née à FERE-EN-TARDENOIS (Aisne) le 8 décembre 1864, et morte à MONTDEVERGUES (Vaucluse) le 19 octobre 1943, elle est une sculptrice et peintre française. Collaboratrice, maîtresse et muse du sculpteur Auguste Rodin, soeur du poète, écrivain, diplomate et académicien Paul Claudel, sa carrière est météoritique, brisée par un internement psychiatrique et une mort quasi-anonyme. Un demi-siècle plus tard, un livre (1982) puis un film (1988) la font sortir de l'oubli.
Depuis son adolescence, Camille Claudel est passionnée par la sculpture et commence très jeune à travailler la glaise. Les premières oeuvres que Camille Claudel montrent à son maître Rodin « lui font forte impression », comme « Vieille Hélène et Paul à 13 ans ». Vers 1884, elle intègre son groupe de praticiens, et elle participe à plusieurs sculptures des oeuvres de Rodin, comme l'imposant groupe statuaire « Les Bourgeois de CALAIS » dont la légende veut que Camille Claudel fut chargée des mains et Jessie Lipscomb des drapés.
Camille Claudel exerce une certaine influence sur son maître, et elle lui inspira « L'Éternelle idole », « Le Baiser » (ils y travaillèrent à deux), ainsi que sur la monumentale « Porte de l'Enfer» oeuvre inachevée d'Auguste Rodin dont Camille Claudel fut une des nombreux collaborateurs.
Suivront également des oeuvres comme « La Danaïde » dont le praticien est Jean Escoulas ou « Fugit Amor ».
Paul-Emile Victor (Explorateur français) :
Paul, Eugène Victor dit Paul-Émile Victor ou PEV, né le 28 juin 1907 à GENEVE et mort le 7 mars 1995 sur l'île de Bora-Bora, est un explorateur polaire, scientifique, ethnologue, écrivain français, fondateur et patron des expéditions polaires françaises durant 29 ans.
Sa première expédition au Groënland date de 1934. Il est ensuite pilote de l'US Air Force pendant la deuxième guerre mondiale. Il devient chef des expéditions polaires françaises dès 1947, et le reste jusqu'en 1976. Le 28 février 1947, après 13 ans d'exploration et d'ethnologie, Paul-Émile Victor s'oriente dans la direction des expéditions scientifiques en créant les Expéditions Polaires Françaises — E.P.F. - Missions Paul-Émile Victor 9. Il a l'appui entre autres des médias, du gouvernement et du député et ministre André Philip. Au cours de ces 29 ans, 150 expéditions sont menées, dix-sept d'entre elles qu'il vit et dirige personnellement en Terre Adélie en Antarctique et quatorze au Groënland en Arctique avec, entre autres, comme caméraman Samivel.
A partir de 1962, il s'intéresse, puis se passionne pour la défense de l'homme et de son environnement et devient en 1968 délégué général de la Fondation pour la Sauvegarde de la Nature, créée par Louis Armand. En 1974, il crée le « Groupe Paul-Émile Victor pour la défense de l'homme et de son environnement », groupe dont les travaux fourniront la matière de son livre «Jusqu'au cou... et comment s'en sortir » publié en 1979 chez Nathan, où il aborde ce que l'on appelle aujourd'hui le « Développement durable » dans une perspective globale et pratique.
En 1976, à 69 ans, il prend sa retraite et devient membre du Conseil consultatif des T.A.A.F. (Terres Australes et Antarctiques Françaises).
Lucien Lefort (Architecte rouennais) :
Frédéric Lucien Didier Lefort naît le 6 janvier 1850 à SENS (Yonne), au n° 1, faubourg Saint-Didier, de Louis Lefort, architecte et de Rosalie Lucile Louise Montégu.
Architecte en chef de la Seine-Inférieure, il est élu membre de l'Académie des sciences, belles-lettres et arts de ROUEN en 1884. En 1886, il est l'un des membres fondateurs de la Société des Amis des Monuments Rouennais.
Il est inhumé au cimetière Monumental de ROUEN. Il est le gendre de l'architecte Juste Lisch. Ses réalisations :
- Église du Sacré-Coeur à ROUEN, construite de 1890 à 1912, - Aile Ouest du Palais de justice de ROUEN,
- Marégraphes du port de ROUEN,
- Sacristie et presbytère de l'église Saint-Maclou, ROUEN,
- Porche de l'église Saint-Vivien, ROUEN,
- Ecole normale d'instituteurs, ROUEN,
- Ecole normale des institutrices, ROUEN,
- Archives de la Seine-Inférieure (1892) (détruit),
- Restauration de l'église Saint-Laurent, ROUEN,
- Ecoles de SAINT-SAENS, SAHURS, BOSC-ROGER-SUR-BUCHY, LONGUERUE,
- Palais de justice de DIEPPE,
- Château à SAINT-PIERRE-DE-VARENGEVILLE,
- Restauration des églises Saint-Jacques et Saint-Rémy à DIEPPE, Saint-Ouen à DARNETAL, des églises de MOULINEAUX, SAINT-VALERY-EN-CAUX, VEULETTES-SUR-MER,
- Restauration du château de Robert-le-Diable à MOULINEAUX,
- Marché couvert de JOIGNY,
- Théâtre municipal de SENS (1882).
Andy Warhol (Artiste américain, figure du Pop art) :
Né Andrew Warhola le 6 août 1928 à PITTSBURGH, Pennsylvanie, Etats-Unis, et mort le 22 février 1987 à NEW-YORK, New-York, Etats-Unis, c'est un artiste américain, l'un des principaux représentants du Pop art.
Warhol est connu dans le monde entier par son travail de peintre, de producteur musical, d'auteur, par ses films d'avant-garde, et par ses liens avec les intellectuels, les célébrités d'Hollywood ou les riches aristocrates. Bien que le travail de Warhol reste controversé, il a été le sujet de multiples expositions, de livres, et de films depuis sa mort. Warhol est généralement reconnu comme l'un des plus grands artistes du XXème siècle.
Au début des années 1960, Andy Warhol publicitaire reconnu, utilise dans ses dessins publicitaires une technique directe : dessinant ses créations sur du papier hydrofuge, il repasse les contours d'encre encore humide sur des feuilles de papier absorbant, sur le principe du buvard.
Bien que, à cette époque, beaucoup d'artistes soient illustrateurs publicitaires pour des entreprises, tous le font discrètement. Warhol, par contre, est tellement connu en tant que dessinateur publicitaire que le reste de son travail artistique n'est pas pris au sérieux. Il a l'idée d'élever les images de la culture populaire au rang de l'art élitiste, rejoignant ainsi les artistes du Pop art, mouvement lancé à LONDRES au milieu des années 1950.
En 1963, il adopte la technique qu'il utilisera pour ses oeuvres les plus célèbres : la photographie sérigraphiée sur toile. Le motif est parfois reproduit plusieurs fois sur la toile, comme un motif de papier peint. C'est le stéréotype du Pop art.
Olympe de Gouge (Femme de lettres et femme politique française) :
Femme de lettres et femme politique française (MONTAUBAN 1748 — PARIS 1793), elle est considérée comme une des pionnières du féminisme français. Auteur de la déclaration des droits de la femme et de la citoyenne, elle a laissé de nombreux écrits en faveur des droits civils et politiques des femmes et de l'abolition de l'esclavage des hommes noirs. Elle est souvent prise pour icone par les mouvements pour la libération des femmes.
Frida Kahlo (Artiste peintre mexicaine) :
Peintre mexicaine (COVOACAN 1907 —1954), elle était mondialement connue avec son mari Diego Rivera. Elle joue un rôle important pour le mouvement artistique mexicain de l'époque.
En 1928, son amie la photographe Tina Modotti l'incite à s'inscrire au Parti communiste mexicain. Elle s'intéresse particulièrement à l'émancipation des femmes dans la société mexicaine qui est encore très machiste. Elle décide dès son jeune âge qu'elle ne veut pas suivre le même parcours que la plupart des femmes mexicaines. Elle a un désir de voyages, d'études. Elle veut la liberté et le plaisir. En 1942, l'artiste commence son journal où elle commente son enfance, sa jeunesse et sa vie. La même année, elle est élue membre du Seminario de Cultura Mexicana, organisation créée par le ministre des Affaires culturelles et composée de vingt-cinq artistes et intellectuels. Elle a pour mission d'encourager la diffusion de la culture mexicaine en organisant des expositions, des conférences et la publication d'ouvrages.
François Depeaux (entrepreneur, bienfaiteur) :
Importateur de charbon, propriétaire d'une mine au Pays de Galles, de plusieurs navires à vapeur et du voilier La Dame Blanche, titulaire de plusieurs brevets d'invention. Il ne fut pas que le donateur, en 1909, d'une importante collection de tableaux impressionnistes au musée des Beaux-Arts de ROUEN (52 peintures, un pastel), plaçant notre musée dans le peloton de tête des musées français pour cette importante période de la peinture française. Il fut également, comme son père Félix Depeaux, un philanthrope très actif à ROUEN dans le domaine social, professant des idées proches du saint-simonisme.
Il est ainsi le fondateur du premier établissement de bains douches de ROUEN, rive gauche, en 1897, à la suite de l'invention des bains en pluie, par le docteur Merry Delabost, à la prison de Bonne-Nouvelle, en 1872. Le tarif de ce bain-douche a été volontairement fixé le plus modeste possible. Il était gratuit pour les ouvriers de François Depeaux et pour certains nécessiteux.
Avec l'aide de la Ville de ROUEN, un second bain douche, toujours rive gauche, a ét ouvert en 1902 près de Bonne Nouvelle (anciennement rue Merry-Delabost), exploité par la Société rouennaise de bains en pluie dont le P.D.G. a été François Depeaux et le vice-président le docteur Merry-Delabost.
François Depeaux a été, par ailleurs, le mécène ou l'initiateur de plusieurs réalisations :
- co-fondateur du collège de Normandie à MONT-CAUVAIRE,
- il a pris une part active dans la création des bassins Saint-Gervais,
- il s'est proposé, en 1893, pour racheter au privé l'église Saint-Laurent, probablement pour la transformer en musée d'art contemporain. Une opération qui ne s'est pas réalisée, la Ville de ROUEN rachetant finalement l'édifice qui sera transformé en musée d'Art normand en 1911.
Sur le plan artistique François Depeaux, outre sa collection donnée à la Ville, a été le mécène/bienfaiteur de plusieurs artistes tels Sisley, Delatre et Pinchon. Il a donné également quelques-unes de ses peintures au musée de Swansea au Pays de Galles.
L'usine d'importation de charbon de François Depeaux se situait sur la presqu'île Rolle et les bains douche qu'il a créé en 1897, se situaient à proximité, anciennement quai de France François Depeaux a possédé plusieurs propriétés à ROUEN et dans ses environs. Ses bureaux (et sa collection de peintures) étaient situés rive droite, 35, avenue du Mont-Riboudet.
Théodore Monod (Explorateur français) :
Né le 9 avril 1902 à ROUEN et mort le 22 novembre 2000 à VERSAILLES, Théodore Monod est un scientifique naturaliste, explorateur, érudit et humaniste français. Il est le gran spécialiste français des déserts, l'un des plus grands spécialistes du Sahara au XXème siècle et bo nombre de ses 1.200 publications sont considérées comme des oeuvres de référence. En 192 travaillant en Mauritanie, il ressent l'appel du désert, qui démarre peu après la côte de ce pays. S vie change : il deviendra le « fou » du désert. Durant les années 1920, il travaille beaucoup en Afrique.
Durant la seconde guerre mondiale, de retour à Dakar, il milite contre la collaboration de Vichy et le racisme nazi au travers de chroniques radiophoniques, d'octobre 1940 à octobre 1941. Il y défend des positions fermement antiracistes, pacifistes et écologistes, qui seront censurées par le gouvernement de Vichy. Il a aussi milité contre tout ce qui, selon lui, menace o dégrade l'homme : la guerre, la corrida, la chasse, l'alcool, le tabac, la violence faite aux humbles.
La fin des années 1960, les années 1970 et 1980 seront consacrées à de multiples voyages, parfois hors du Sahara (Iran et Yémen par exemple). Le dernier de ses 124 voyages aura lieu en décembre 1998, pendant 15 jours, dans son "diocèse" de l'Adrar de Mauritanie (Guelb er Richat et El Beyyed). Il était alors âgé de 96 ans.
De 1916 à 2000, il a publié 1.881 volumes, synthèses, articles, mémoires, dont près de 700 consacrés aux sciences de la nature et il a récolté 20.671 échantillons au cours de ses voyages.
Niki de Saint-Phalle (Artiste plasticienne française) :
Peintre, plasticienne, sculptrice et réalisatrice de films française, née Catherine-MarieAgnès Fal de Saint Phalle, (29 octobre 1930 - 21 mai 2002), elle a d'abord été mannequin, puis mère de famille avant d'aborder l'art en autodidacte. S'inspirant de plusieurs courants, art brut, art outsider, elle a commencé à peindre en 1952.
D'abord épouse de Harry Mathews, avec qui elle a deux enfants, elle se marie en secondes noces avec l'artiste Jean Tinguely en 1971. Avec lui, elle va réaliser un grand nombre de sculptures-architectures, soit sur commande, soit pour le simple plaisir.
Elle laisse derrière elle une oeuvre immense dont elle a fait de généreuses donations en particulier au Sprengel Museum Hannover (ville jumelée à ROUEN) et au musée d'art moderne et d'art contemporain de NICE. Elle a également soutenu plusieurs causes dont celle des Noirs américains, celle de la libération de la femme du patriarcat, celle des malades atteints du sida.
Berthe Morisot (Peintre impressionniste française) :
Peintre française (BOURGES 1841 — PARIS 1895), elle est d'abord marquée par l'enseignement de Corot. Puis par la fréquentation d'Édouard Manet (dont elle épouse le frère, Eugène), elle se lie aux impressionnistes et peint, dans une manière délicate et lumineuse, des scènes intimistes d'intérieur ou de plein air (« le Berceau » 1872, « la Chasse aux papillons » 1874, musée d'Orsay). Vers 1890, sous l'influence de Renoir, elle tend vers un dessin plus ferme, des tons plus vifs, sans perdre son originalité.
Dian Fossey (Ethologue américaine) :
Ethologue américaine (SAN FRANCISCO le 16 janvier 1932 - Montagnes des Virunga au Rwanda le 26 décembre 1985), elle est spécialisée dans l'étude du comportement des gorilles de l'Est. Elle fait plusieurs découvertes sur les gorilles comme les changements de groupes par les femelles gorilles, sur la façon dont le mâle à dos argenté d'un groupe tue les petits en bas âge afin que les femelles puissent porter ses propres enfants, et comment les gorilles recyclent des substances nutritives.
Ses recherches sont financées par la fondation de Louis Leakey, elle-même financée par le National Geographic. C'est ce primatologue qui envoie à l'étude des grands singes dans leur milieu naturel, les «Trimates », un groupe de trois éminentes chercheuses sur les primates (Dian Fossey sur les gorilles, Jane Goodall sur les chimpanzés, et Biruté Galdikas sur les orangs-outangs)
Elle les a étudiés régulièrement dans les forêts de montagne du Rwanda. Cet engagement lui coûtera la vie. Elle est assassinée en 1985. Son assassin est toujours inconnu à ce jour. Elle est l'auteur d'un livre de mémoires, Gorilles dans la brume (Gorillas in the Mist), qui a fait l'objet d'une adaptation cinématographique éponyme.
Sonia Delaunay (Artiste peintre française) :
Artiste peintre, (née Sophie Stern ou bien Sara Illinichtna Stern en Ukraine, le 14 novembre 1885 à Gradizhsk et morte le 5 décembre 1979 à PARIS) elle étudie assez peu les beaux-arts : le dessin à KARLSRUHE pendant deux ans, puis à PARIS à l'Académie de la Palette dans le Quartier du Montparnasse. Elle a été naturalisée française grâce à un premier mariage avec Wilhelm Uhde en décembre 1908.
Après une période fauve que lui ont sans doute inspirée Vincent van Gogh et Paul Gauguin, elle invente, avec son deuxième mari, une forme de peinture qu'Apollinaire définit du terme vague d'orphisme, qui ne correspond à aucune tendance réelle. Sonia et Robert Delaunay ont surtout travaillé ensemble sur la recherche de la couleur pure et du mouvement des couleurs simultanées, une tendance qui a inspiré d'autres peintres après eux, notamment Fernand Léger et Jasper Johns.
De plus en plus orientée vers l'art abstrait au fil des années, elle crée en 1946 le Salon des réalités nouvelles uniquement pour promouvoir l'abstraction.
Elle laisse derrière elle une oeuvre abondante qui comprend aussi des tissus imprimés, des livres d'artistes, des robes de haute couture dont la célèbre robe de Nancy Cunard. Sa première oeuvre textile étant une couverture pour son fils Charles.
Pour les espaces publics de l'EcoQuartier Flaubert situés partiellement ou totalement sur le territoire communal de ROUEN, et sur la base des éléments qui précèdent, il vous est donc proposé de dénommer les nouveaux espaces publics, tel qu'ils figurent sur le plan joint :
- «Camille Claudel » pour le cours principal débouchant sur la Seine,
- «Berthe Morisot » pour la rue parallèle à l'ouest au cours précédemment cité,
- «Frida Kahlo » pour la rue en prolongement du boulevard de l'Europe,
- «Niki de Saint-Phalle » pour la rue en prolongement du boulevard d'Orléans, - «Olympe de Gouge » pour la place en limite communale,
- «Andy Warhol » pour la place à l'intersection de l'avenue Jean-Rondeaux et face au boulevard de l'Europe,
- «Sonia Delaunay » pour la voie située au nord du faisceau Plaine,
- «Paul-Emile Victor» pour la voie situé au sud du faisceau Plaine,
- «Lucien Lefort » pour la voie débouchant sur la rue de la Motte,
- « Théodore Monod » pour la voie, entre la rue de la Motte et la nouvelle place « Dian Fossey » au PETIT-QUEVILLY,
- «François Depeaux » pour la voie débouchant face à la rue Brisout de Barneville.
 
Année : 2017
Catégorie : Urbanisme
Page : 98
Rapporteur : Christine Rambaud
   
Débats :
   
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